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N’GORON

Danse sacrée, le N’goron est pratiqué dans un bois sacré durant 7 ans, où les jeunes gens sont initiés par le cercle des anciens Poro.
À la fin de cette période, cette transmission continue : les jeunes l’apprennent aux jeunes filles de leur génération qui l’utilisent comme une danse d’accueil ou de réjouissance.

DIALGATI

GBÉGBÉ

En Côte d'Ivoire :  une danse traditionnelle du pays Bétés, appréciée dans les manifestations publiques de réjouissance ou de deuil. Pratiquée dans tous les villages Bétés, sa pratique s'est étendue au-delà de la région du centre-ouest de la Côte d'Ivoire

KUKU

Pratiquée traditionnellement lorsque les pêcheurs des villages reviennent avec leur cargaison de poissons.
Mais, dès qu’une célébration est soulignée, il n’est pas rare d’entendre ce rythme.

TEMATE

Danse de réjouissance, 
le Temate (qui signifie “plus beau” en Wobe) raconte l’histoire du riz de sa semence à sa récolte.
La tradition veut que cette danse soit pratiquée par les jeunes filles qui mime les étapes de la culture du riz : débroussailler, semer, récolter, vanner.

MENDIANI

Ce rythme et une danse pour les jeunes filles de six à treize ans.
Lors des fêtes de Mendiani, les jeunes hommes portent les filles sur leurs épaules jusqu'au centre du village.
Dès leur arrivée au centre du village, ils sont accueillis par les batteurs au rythme Denadon. 
Après cela, les filles enlèvent leurs masques et les percussionnistes se mettent au rythme de Mendiani.